L'autorité de protection et de contrôle autrichienne a considéré qu'il y avait violation du GDPR car la poste avait créé une base de données sur les opinions politiques présumées de ses clients. Elle a également relevé des anomalies sur le traitement des données à des fins de marketing direct relatives à la fréquences des changements d'adresse et d'envois de colis.
Marine Pouyat
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